Voilà déjà plusieurs mois que Nicolas et Pimprenelle battent le pavé de la campagne présidentielle. Comme on pouvait s’y attendre, tous les mensonges, tous les coups bas sont prévisibles, voire chaudement recommandés et il faut s’attendre à tout.

 « Rien ne sert de courir, il faut partir à point. ». Le lapin nain immigré du pays des Skoda ne semble pas féru des fables de La Fontaine et il l’apprendra sans doute à ses dépends d’ici quelques mois. Tel Don Quichotte, il s’agite, gesticule, change très souvent d’avis sans avoir l’air de se rendre compte qu’il agace, irrite un bon nombre de Français qui sont de plus en plus nombreux à lorgner dans d’autres directions.

Pendant ce temps, l’épouse du « culbuto » s’affiche un peu partout dans des tenues aguichantes qui ne doivent pas faire oublier qu’il ne s’agit que d’une femme politique et non pas d’une actrice ou d’une vulgaire « pipole » créée de toutes pièces par la téléréalité.

Il y a quelques mois, le petit « conil », a trouvé judicieux de mettre en scène son  terrier dans les médias. Il se voyait déjà en costume de Président heureux jusqu’au jour où la lapine s’en est allée avec un plus grand, peut-être un lièvre qui la faisait grimper aux rideaux… Toujours est-il que la presse adorée est devenue persona non grata dans la vie familiale du petit animal qui a beaucoup lutté pour remonter la pente et tente actuellement de mystifier les électeurs.

Entre-temps, l’ingrate est rentrée au bercail et la vie à repris son cours comme si de rien était, hypothèse battue en brèche par une petite mouche indiscrète qui aurait, (mais chut… !) assisté à de bien curieux échanges indignes d’une tragédie Grecque.

Au fil du temps, le lagomorphe a fini par comprendre que quand on a des ambitions, courir vite est nettement insuffisant. Son nouvel avatar est un singe, un petit, bien entendu. Le macaque est vif, malin, astucieux et il sait se montrer lubrique à l’occasion. La photo qui illustre l’article résume à elle seule les nouvelles intentions de l’animal politique. « Baiser » la petite « chatte » dans les urnes et pourquoi pas dans un boudoir ou un ascenseur… ? Dans cette fable des temps modernes, le petit primate devrait se dire que s’il a des mains, la féline est souple, qu’elle a des griffes, qu’elle mord et que la partie est loin d’être gagnée d’avance… !

En attendant, les « Mamarazzis » féministes sont sur le qui-vive… Il se murmure dans les milieux autorisés qu’il y aurait de l’échangisme dans l’air…, une bien curieuse redistribution des cartes en quelque sorte… !

Tout cela ne serait qu’une fable de mauvais goût ? Peut-être… ! Mais en politique, il parait qu’il ne faut jamais dire « jamais » … que tout est possible… Le meilleur mais surtout le pire… ! A suivre !

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